.Thought of one evening.

Où la pensée prend son envol…

 

Mon antre

Cela fait plusieurs minutes que je suis là. Je ne sais pas quoi dire. Je ne pense sûrement pas assez bien pour trouver comment vous dire bienvenue, ou encore pour vous énoncer le contenu de ce blog. Dés ces premières lignes, vous devez vous rendre compte que je suis compliquée. Je n’ai pas l’intention de me satisfaire d’un banal bienvenue et d’une liste plus ou moins complète du contenu du blog. Je veux déjà du rêve, je veux que vous entriez déjà dans un autre monde.

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Dans : Blabla
Par breathe
Le 20 novembre, 2009
A 16:12
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Rien.

            J’ai envie d’écrire ce soir. Sur qui ? A propos de quoi ? Je n’en ai aucune idée. J’ai juste envie de sentir les mots couler sur le papier, de les voir prendre forme, de les voir vivre, de sentir à travers eux mes pensées les plus intimes, de les voir refléter mes désirs… J’ai envie que mes lecteurs ressentent ce que je ressens, qu’ils apprécient ce que j’apprécie, qu’ils voient à travers mes mots.

            Je crois que tu m’inspires, d’une façon tellement étrange que mes phrases en deviennent incohérentes, que mes mots se troublent comme mon esprit se perd dans la confusion. Les lignes ne reflètent rien de compréhensible à part un désir, une envie d’écrire. On m’a dit un jour de lire à travers ces lignes. N’y voit-on pas, au travers de mes mots, un désir plus profond que celui d’écrire ? Un désir lié à toi ? Je n’ai pas de réponse suffisamment cohérente à apporter. Tu me troubles.

            Tu me donnes envie d’écrire, envie de clamer haut et fort la beauté du monde. Tu me donnes envie de rêver. Tu me donnes envie de m’évader, de me soustraire à ce monde pour m’ouvrir à un autre. J’ai envie de voyager, de m’en aller, de partir gaiement à la découverte. Il y a quelques jours, j’aurai su écrire sur mon parfait univers, celui qui me fait voyager, mais aujourd’hui, je me sens perdue, confuse. Tu me troubles.

            Imprésentable, fouillis, difforme…

            Je me sens même incapable de mettre un point final à ce texte. Et ainsi s’achève ce texte qui explique en 10 lignes ce que j’aurai pu résumer en une phrase : tu me troubles. Et encore, est-ce vraiment un trouble ? N’est-ce pas simplement une sorte de panne, l’impossibilité d’écrire plus forte que la volonté ?

            En partant de rien, je n’ai même pas fait un tout.

Mardi 29 décembre 2009

Alexandra B. 

Dans : Pensee d'un soir
Par breathe
Le 3 janvier, 2010
A 19:40
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Des mots à écrire

            La limite entre l’amour et l’amitié ? L’amour réel ou un coup d’un soir ? Tout a un début, un milieu, et une fin.

            J’ai espéré. Chaque petit cœur, chacune de tes paroles, à chacun de mes baisers, à chaque caresse, je me sentais vivante, amoureuse mais aussi aimé. Tu as même remarqué à quel point mon cœur battait pour toi. Tu as même apprécié mes caresses, mes baisers ne t’ont pas laissé indifférent, j’en suis sur. Et pourtant…

            Pourtant, il y avait ce je ne sais pas qui planait dans l’air. Je sens encore ton odeur sur moi, ton affreuse odeur. J’ai l’impression que tes bras ne m’ont pas quitté, que tu traces toujours un sillon brulant le long de mes cuisses. Ton indécision était trop grande, ta bonté et ta sincérité trop prenante. Ton attachement à moi trop important ? J’aurai aimé pourtant…

            Mais il n’y a rien, rien à part le vide. Je te remercie, tu as été le parfait gentleman, tu as joué la carte de la sincérité. Mais la plaie reste à vif. A peine arrivée que la fin était déjà annoncée. Oh oui, tu tiens à moi. Oui je suis dans ton cœur, mais pas en première classe, plutôt la seconde classe. Je n’ai pas l’exclusivité dans ton cœur, ni de tes baiser, ni de tes caresses… Ton parfum m’enivre encore les narines, je le sens sur moi, s’en est une torture.

            Tout avait un début, un milieu, mais je suis désormais à la fin.

Au moins, tu m’as donné des mots à écrire. 

Mardi 22 décembre 2009 

Alexandra B.

Dans : Pensee d'un soir
Par breathe
Le 22 décembre, 2009
A 20:23
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Soon.

4 jours. 96 heures. 5 760 minutes. 345 600 secondes, 345 599, 345 598… Et je t’aime.

 

Vendredi 18 décembre 2009

Alexandra B.

Dans : Pensee d'un soir
Par breathe
Le
A 20:23
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